Windy promettait 17 mph cette après-midi, je comptais donc sur ça pour remettee le couvert dans mon test de Djinn extra-ventilé. Les rafales à 33 mph finirent de mon convaincre de me rendre sur mon spot du parc du Rondeau à Courcouronnes.

Une fois sur place la douzaine de place de parking étaient toutes occupées. Je pensais déjà que mon spot était envahi de grosses voile.

Finalement juste un ou deux amateurs de gonflette sur le terrain, j’entamai ma séance par le rituel de la mesure du vent. Sur ce blog vous l’avez compris, je suis factuel en appliquant une démarche scientifique (et donc quantifiable) à la pratique du cerf-volant. Déformation professionnelle…

Le vent mesuré à bout de bras était plus faible que les annonces de Windy. Il était neanmoins plus fort que celui de dimanche dernier. De quoi tester le Djinn extra-ventilé ? Oui d’autant plus que en hauteur le vent souflerait bien plus.


Alors je le dis d’emblée, le vent de ce jour permettait au Djinn extra-ventilé de voler correctement. Je pense avoir trouvé ma limite basse avec ce CV. Il faut juste mettre l’échelle de noeud au maximum vers les poignées ie lacher les frein au maximum, afin de tenir dans les passage de vent bas. Ce reglage me permit de bien explorer le vol du Djinn extra-ventilé et j’ai encore ressenti cette vibration dans les lignes maintenant familière que j’appelle « le chant du Djinn ».

Après 2 bonnes heures de vol, je quittai le terrain heureux d’avoir pu faire voler mon extra-ventilé et d’avoir progressé dans l’axel depuis un stop BA en bas. A quand le flic-flac ?
